Dernier acte en date, la déclaration de son frenchy de président, Dominique Strauss-Kahn, au sujet de l'augmentation du revenu minimum en Ukraine voulue par le gouvernement.

Les inquiétudes de son directeur ont du mal à masquer le véritable chantage - comme le FMI en a maintenant la triste habitude - à la libération du 4ème volet de l'aide financière à destination de l'Ukraine.

Imaginez un peu que la FED, la Maison Blanche ou le gouvernement français conditionnent le versement des aides financières promises - et nécessaires - aux institutions financières en crise, à la condition qu'elles se plient à une nationalisation du système bancaire. Idiot, n'est-ce pas ? C'est pourtant en substance ce qu'exige (et obtiendra) M. Strauss-Kahn, qui aura vite appris sa leçon...

Mais enfin ! Depuis quand redistribue-t-on les richesses à ceux qui en ont le plus besoin ?!