Dernier acte en date, la déclaration de son frenchy de président, Dominique Strauss-Kahn, au sujet de l'augmentation du revenu minimum en Ukraine voulue par le gouvernement.
Les inquiétudes de son directeur ont du mal à masquer le véritable chantage - comme le FMI en a maintenant la triste habitude - à la libération du 4ème volet de l'aide financière à destination de l'Ukraine.
Imaginez un peu que la FED, la Maison Blanche ou le gouvernement français conditionnent le versement des aides financières promises - et nécessaires - aux institutions financières en crise, à la condition qu'elles se plient à une nationalisation du système bancaire. Idiot, n'est-ce pas ? C'est pourtant en substance ce qu'exige (et obtiendra) M. Strauss-Kahn, qui aura vite appris sa leçon...
Mais enfin ! Depuis quand redistribue-t-on les richesses à ceux qui en ont le plus besoin ?!
1 De David C. -
Alors que la population d'Ukraine doit faire face à une grave crise sanitaire du à la grippe A H1N1 et à de graves maladies pulmonaires qui frappent quelques 40 000 Ukrainiens (30 morts et 1000 hospitalisations).
Vendredi 30 octobre 2009, Dominique Strauss-Kahn (DSK), actuel directeur général du Fond Monétaire Internationale (F.M.I.), se dit "inquiète" (non pas des maladies qui ravagent le pays) après la promulgation par le président ukrainien, Viktor Iouchtchenko, d'une loi augmentant le salaire minimum de 11 % au 1er novembre. DSK prétend que "la nouvelle loi sur le salaire minimum, menaçaient la stabilité" du pays.
DSK Vous avez dit " Socialiste préféré des Français pour 2012 ?"
Il est temps que toutes les révoltes particulières donnent naissance à un projet commun révolutionnaire!
David C.
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