Quoiqu'il en soit, une de mes listes d'écoute ne compte plus que 5 morceaux disponibles sur les 19 que j'avais l'habitude d'écouter.
Comment le grand public peut-il comprendre que d'un côté, l'on défende l'industrie du disque et les artistes avec la loi Création et Internet, et de l'autre des solutions légales et encensées par certains, voient les accords réduire leur catalogue musical ?
Il y a encore décidément beaucoup de chemin à parcourir pour cette industrie, et malgré le cataclysme économique qu'elle traverse, la leçon n'est pas encore retenue... :-(